KØVID 1204-2020
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KØVID 1204-2020

En 2021, Modeste Schwartz a commencé à utiliser le mot « Køvíd », pour parler de ce qui a commencé en février-mars 2020 et qu’une majorité du public continue encore à prendre pour une « crise sanitaire »...

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Description

En 2021, Modeste Schwartz a commencé, dans ses conversations, avec quelques-uns des esprits éveillés de notre époque, à utiliser le mot « Køvíd », pour parler de ce qui – tout du moins aux yeux du public – a commencé en février-mars 2020, et qu’une majorité dudit public continue encore à prendre pour une « crise sanitaire ».

À travers cette innovation lexico-graphique, il s’agissait pour lui de manifester non seulement le rejet du récit officiel (de type « OMS ») actuellement en cours d’effondrement, mais aussi de prendre ses distances avec les courants de pensée alter-covidistes surgis au cours de l’été 2020, lesquels, stupides ou complices, s’employaient déjà à valider par la bande le récit du mainstream, en l’assortissant de menus addenda (parfois exacts, mais jamais pertinents), sur le « gain de fonction », la « 5G » ou « l’Ivermectine ».  

Autant de façons de ne pas comprendre ce qui venait d’arriver – c’est-à-dire, d’un point de vue sanitaire : pratiquement rien mais, d’un point de vue politique : la fin d’un monde, qui était à la fois celui de la rationalité calculante, de l’universalisme démocratique et du droit afférent à ce dernier – la fin de l’Occident.

Préface de Vincent Chapin.

***

À propos de l'auteur : 
Modeste Schwartz est ancien élève de l’École Normale Supérieure et linguiste, il est également traducteur. Avec plus de quinze années passées en Roumanie et en Hongrie, il s'est spécialisé dans le suivi des politiques danubiennes. Il est déjà auteur de deux ouvrages iconoclastes aux éditions Culture & Racines :
« YIN, l'Occident comme cunnicratie » (2020) et « Le Magicien de Davos, vérité(s) et mensonge(s) de la grande réinitialisation » (2021).

Modeste Schwartz : « Klaus Schwab ne se cache absolument pas de son projet de société bolchevique ».

Fiche technique

978-2-491861-35-3
0.29 kg
Fiche technique
Nombre de pages :
296
Format :
12x18 cm
Préface :
Vincent Chapin
Collection :
Influence

Le mot du préfacier

Il va de soi que Modeste Schwartz ne recevra aucune sympathie systémique. Il peut faire l’objet de très nombreux soupçons — complotisme, hétérodoxie massive, et j’en passe. Par ailleurs son érudition très vaste, typique d’un homme s’étant nourri aussi de manière souterraine, en autodidacte, mettrait mal à l’aise n’importe quel journaliste. Par exemple, il fréquente et Oswald Spengler et Alexandre Douguine, et ces lectures ne permettent en rien d’obtenir une culture moderne utile dans la perspective de la doxa. Au mieux, elles sont inactuelles ; au pire elles sont suspectes. Toute alternative est dangereuse et traitée comme un danger. La meilleure défense actuelle de Modeste Schwartz est son obscurité. Définir l’Occident, le comprendre tant que c’est encore possible. Modeste Schwartz apporte à cet immense chantier, produit par des hommes essentiellement isolés ».
- Vincent Chapin (préfacier du livre et auteur).

L'auteur présente ses livres

Le mot d'Electre©

A travers le concept de KØVID, élaboré durant la pandémie mondiale, l'auteur exprime le rejet des récits officiels. Derrière une crise sanitaire qu'il juge inexistante, il dénonce un projet d'éradication de la rationalité et de l'universalisme démocratique.
- Electre

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