Réinventant Lafargue et son « droit à la paresse » en pleine Assemblée nationale, Sandrine Rousseau, cousine Bette de la Macronie, se prend pour le gendre de Marx. A-t-elle vraiment tort ?
N’est-il pas préférable, parfois, de « ralentir un peu » ? De préférer le partage à la bagarre ? La salade au barbecue ? Il est permis de le penser.
Simplement,
toutes ces vérités (psychologiques, diététiques…) relèvent de ce qu’Alain Soral – dans
une analyse d’un marxisme un peu plus rigoureux – appelait la catégorie du « psychologico-affectif ». Autre façon de dire qu’elles sont vraies pour les enfants (et même
certains animaux) autant que pour l’homme adulte, n’ayant rien à voir avec l’existence des familles, des classes sociales, des Etats et des nations – en d’autres termes : avec l’humain, en tant qu’il est essentiellement historique.
Sandrine Rousseau, ou la paresse terminale de l’esprit occidental
En tant que
cette idéologie de Davos n’est autre que la forme terminale d’une idéologie de l’Occident qui n’est autre que le projet de la Gauche
telle que je l’ai analysée, la sosie de Sardine Ruisseau a d’ailleurs parfaitement raison : le travail n’est pas/plus une « valeur de gauche ». C’est une valeur que la Gauche a dépassée – en même temps que l’Occident, en envoyant
ses usines en Asie et ses jeunes femmes à la clinique d’avortement, dépassait le principe de perpétuation.
Les hommes occidentaux n’ont donc pour la plupart plus envie de travailler pour assumer le bien-être stérile de femelles vindicatives et névrosées. Et les rares naïfs persistant dans cette lubie du travail n’auront qu’à financer le « droit à la paresse » des autres, plus les
bullshit jobs subventionnés de madame, plus la
retraite des boomers cautionnant tout cela de leur vote, plus la
« transition démographique », la
« transition écologique », la lutte
contre la grippe et « pour l’Ukraine ». C’est dire si cette France-là a plutôt intérêt
à se lever tôt…