Baromètre Sexisme 2023 : trop de français continuent à percevoir la réalité I Par Modeste Schwartz

Une perception adéquate de la réalité se rend forcément coupable de « sexisme », quand cette réalité est celle d’une espèce (Sapiens sapiens) caractérisée par sa bisexuation. En déclarant la guerre au « sexisme », la secte transhumaniste au pouvoir à Paris (comme dans la plupart des capitales occidentales) déclare donc implicitement la guerre à l’espèce humaine.

Faute de pouvoir la faire disparaître à court terme – malgré ses meilleures intentions néomalthusiennes, et en dépit d’un indéniable perfectionnement des produits injectables –, elle s’emploie donc à l’invisibiliser. Les Français (a.k.a. « Gaulois réfractaires ») sont ainsi culpabilisés par le Haut Conseil à l’Egalité (HCE), qui constate, entre autres, que « moins d’un Français sur deux considère problématique qu’une femme cuisine tous les jours ».

Il est donc temps de châtier ces odieux fascistes, notamment en les privant de toute représentation dans cette presse que l’État les contraint pourtant à subventionner : le HCE recommande de « conditionner les aides publiques à la presse écrite à des engagements pour l’égalité ». L’évocation de la réalité doit devenir punissable !

La revanche du « sexisme » (de la réalité) s’appelle : démographie

Le covidisme a beau battre la retraite, le Great Reset (stérilisation + récession) a d’ores et déjà réussi à saboter une natalité européenne déjà poussive – au moment même où, en dehors du monde blanc, d’autres religions mettent de l’eau « sexiste » dans leur vin rigoriste. La grande bataille occidentale du féminisme risque donc de se terminer faute de combattants.

Dans ses efforts en vue de « lutter contre les représentations dégradantes des femmes, en particulier les contenus pornographiques », le HCE ressemble donc de plus en plus à Hitler, décrétant depuis son bunker le Volksturm, pour s’assurer de ce que les mâles allemands qui avaient survécu à Stalingrad n’atteignent pas vivants le moment de la capitulation. De ce point de vue, la croisade féministe en cours dans l’Europe « cobelligérante » est donc parfaitement raccord avec le grand effort de dépopulation (un peu plus brutal) mené par l’héroïque Zelenski devant Soledar.

Dans ces conditions, l’édition 2023 du Prix Darwin s’annonce comme une compétition extrêmement serrée.

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