LE GOUFFRE DE LA FÉMINOLÂTRIE : Intelligence thérapeutique du temps présent et psychanalyse révolutionnaire de Stanley Kubrick
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LE GOUFFRE DE LA FÉMINOLÂTRIE : Intelligence thérapeutique du temps présent et psychanalyse révolutionnaire de Stanley Kubrick

Ce livre est une mise à nu méthodique de la féminolâtrie – et par voie de conséquence du matriarcat – sévissant en Occident depuis la fin des années 1960.
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Description

Le gouffre de la féminolâtrie – Intelligence thérapeutique du temps présent et psychanalyse révolutionnaire de Stanley Kubrick est une mise à nu méthodique de la féminolâtrie et par voie de conséquence du matriarcat sévissant en Occident depuis la fin des années 1960. Philippe de Vulpillières en décrypte les étapes, l’emprise, et le caractère désormais férocement psychopathogène. Passant du général au particulier, il démontre pas à pas qu’à compter de 2001, l’Odyssée de l’espace (1968) Stanley Kubrick ne met plus en scène que des projections oniriques de sa propre évolution psychoaffective et que ce réalisateur de génie offre ainsi souterrainement en spectacle une agonie féminolâtre l’ayant fait basculer, à un certain point, dans la psychopathie.

Enracinée dans la foi chrétienne et conçue comme un vaccin contre l’esprit du temps, cette approche iconoclaste, atypique, abondamment documentée, est couronnée par d’indiscutables révélations bouleversant à jamais l’intelligence de l’œuvre et du processus créatif de ce monstre sacré du cinéma.

Franc-tireur catholique inclassable, l’auteur de L’homme tue et la femme rend fou (Culture & Racines, 2021) fait pivoter ses analyses autour d’une clé inédite sapant les fondements du wokisme. L’homme dispose d’un corps-arme et d’un cerveau-joyau. La femme dispose d’un corps-joyau et d’un cerveau-arme. L’attirance hétérosexuelle tient au fait que chaque sexe voit et désire un reflet de son propre cerveau. Le corps-joyau féminin brille par sa tendresse (paix et amour) et donne vie au corps physique. Le cerveau-joyau masculin brille par sa sagesse (vérité et justice) et donne vie au corps social. L’homme est un juge. La femme est une avocate. Et le patriarcat est donc sans alternative autre que pernicieuse.

Ceci est une version révisée, augmentée, et actualisée de l’essai paru en 2022 sous le titre :
« L’esprit de Stanley Kubrick – Miroir de l’Occident féminolâtre ».

Fiche technique

978-2-491861-44-5
0.80 kg
Fiche technique
Nombre de pages :
506
Format :
15,5x23cm
Sortie :
14 juin 2024

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LE GOUFFRE DE LA FÉMINOLÂTRIE

Le mot de l'éditeur

Peu d’ouvrages peuvent s’enorgueillir d’abriter des révélations. Dans le champ des sciences humaines, les révélations ne s’imposent évidemment pas comme dans les sciences dures et il est de notoriété publique qu’un universitaire du nom de René Pommier a passé sa vie à s’en prendre à la théorie du désir mimétique de René Girard, bien que d’innombrables intellectuels y voient une révélation magistrale.

Le titre même du premier livre de Philippe de Vulpillières, « L’homme tue et la femme rend fou », est en droit d’apparaître comme une révélation : la destructivité masculine est physique ; la destructivité féminine est psychique. Et l’essai en compte d’autres : appréhender la société spirituellement recomposée par le petit écran comme une enfant hypnotisée (œil) du couple Mammon/Salomé (cupidité et luxure) à l’insistante saveur d’une évidence et ressemble donc bel et bien à une nouvelle révélation.

Or non seulement le deuxième livre de Philippe de Vulpillières, « LE GOUFFRE DE LA FÉMINOLÂTRIE », regorge-t-il lui aussi de révélations, dont beaucoup prolongent - et affermissent donc - celles de son premier ouvrage, mais il s’offre le luxe d’en receler certaines - sur les mystérieux soubassements et mécanismes de l’œuvre de Stanley Kubrick - qui ne s’exposent plus à la mauvaise foi de tel ou tel René Pommier en herbe et ne laissent aucune place au doute.

Le style est truculent, les traits d’esprit s’enchaînent avec poésie et humour, les démonstrations sont limpides et quiconque a soif d’une véritable et jubilatoire stimulation intellectuelle connaîtra donc, à la lecture du « GOUFFRE DE LA FÉMINOLÂTRIE », à la fois l’ivresse des profondeurs - compte tenu des sujets abordés – et l’ivresse des cimes… tout cela ressuscitant purement et simplement le Génie du christianisme. »

Avis

Une analyse du thème des troubles psychiques et de la folie dans les films de Kubrick. L'auteur introduit la notion de l'esprit maléfique du Lupanar puis analyse comment il est perçu et glorifié dans l'œuvre du réalisateur... ». 
- Electre@

La méthode de l'auteur est de glorifier la sainteté en désignant tout le reste comme un piège diabolique. Il utilise une série de clés, issues de la Bible, pour ouvrir toutes les portes de l'inconscient individuel (Kubrick) et collectif (féminisme, wokisme, antifascisme, etc.) et dépeindre avec précision l'horreur suicidaire et la bêtise abyssale du progressisme. Une lecture incroyablement éclairante et assez jubilatoire. Mais un rien brutale. Et qui va en faire enrager plus d'un ».
- Samual (un lecteur)

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