YIN : L'Occident comme cunnicratie
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Peu d’ouvrages peuvent s’enorgueillir d’abriter des révélations. Dans le champ des sciences humaines, les révélations ne s’imposent évidemment pas comme dans les sciences dures et il est de notoriété publique qu’un universitaire du nom de René Pommier a passé sa vie à s’en prendre à la théorie du désir mimétique de René Girard, bien que d’innombrables intellectuels y voient une révélation magistrale.Le titre même du premier livre de Philippe de Vulpillières, « L’homme tue et la femme rend fou », est en droit d’apparaître comme une révélation : la destructivité masculine est physique ; la destructivité féminine est psychique. Et l’essai en compte d’autres : appréhender la société spirituellement recomposée par le petit écran comme une enfant hypnotisée (œil) du couple Mammon/Salomé (cupidité et luxure) à l’insistante saveur d’une évidence et ressemble donc bel et bien à une nouvelle révélation.Or non seulement le deuxième livre de Philippe de Vulpillières, « LE GOUFFRE DE LA FÉMINOLÂTRIE », regorge-t-il lui aussi de révélations, dont beaucoup prolongent - et affermissent donc - celles de son premier ouvrage, mais il s’offre le luxe d’en receler certaines - sur les mystérieux soubassements et mécanismes de l’œuvre de Stanley Kubrick - qui ne s’exposent plus à la mauvaise foi de tel ou tel René Pommier en herbe et ne laissent aucune place au doute.Le style est truculent, les traits d’esprit s’enchaînent avec poésie et humour, les démonstrations sont limpides et quiconque a soif d’une véritable et jubilatoire stimulation intellectuelle connaîtra donc, à la lecture du « GOUFFRE DE LA FÉMINOLÂTRIE », à la fois l’ivresse des profondeurs - compte tenu des sujets abordés – et l’ivresse des cimes… tout cela ressuscitant purement et simplement le Génie du christianisme. »
Une analyse du thème des troubles psychiques et de la folie dans les films de Kubrick. L'auteur introduit la notion de l'esprit maléfique du Lupanar puis analyse comment il est perçu et glorifié dans l'œuvre du réalisateur... ».
- Electre@
La méthode de l'auteur est de glorifier la sainteté en désignant tout le reste comme un piège diabolique. Il utilise une série de clés, issues de la Bible, pour ouvrir toutes les portes de l'inconscient individuel (Kubrick) et collectif (féminisme, wokisme, antifascisme, etc.) et dépeindre avec précision l'horreur suicidaire et la bêtise abyssale du progressisme. Une lecture incroyablement éclairante et assez jubilatoire. Mais un rien brutale. Et qui va en faire enrager plus d'un ».
- Samual (un lecteur)