L'intéressé a accepté que son courriel soit publié en exigeant que l'on "élimine ce qui pourrait permettre de l'identifier" [NDLR].
@Crédit photographie : Cato van Ee by Miles Aldridge (2017)
1. LA MAIN TENDUE
Mon père,
Le 14 juin 2024 paraîtra une version révisée, augmentée et actualisée de mon deuxième ouvrage, sous le titre : Le gouffre de la féminolâtrie.
Je sais avoir mis le doigt sur un phénomène majeur et j'attire votre attention sur l'impact de ladite féminolâtrie au sein de l'Église catholique.
J'estime en effet qu'un passage du psaume 84 exalte la formidable alliance, en Dieu, du masculin et du féminin : "amour et vérité se rencontrent / justice et paix s'embrassent".
La vocation plus spécifiquement masculine me semble être de servir la Vérité et la Justice alors que la vocation plus spécifiquement féminine me semble être de servir la Paix et l'Amour.
La complémentarité homme/femme est ainsi, à mon sens, une complémentarité sagesse/tendresse... Et le vent de la féminolâtrie pousse l'Église à se déséquilibrer au sens où la tendresse en vient à altérer la sagesse.
Vous en apprécierez à n'en point douter le caractère explosif : une telle approche ruine la fameuse théorie du genre et légitime par ailleurs le fait que le sacerdoce soit réservé aux hommes.
L'hétérosexualité retrouve, Dieu merci, sa place : chaque sexe voit et désire un reflet de son propre cerveau.
Mon ouvrage est très riche et j'espère que vous ne passerez pas à côté : le clergé est son premier destinataire et c'est pourquoi j'ai voulu le faire apparaître "physiquement" dans le "TEASER 1".
Si vous avez les idées larges, le visionnage de ces 4 courtes vidéos promotionnelles vous mettra du baume au cœur... car cette offensive missionnaire et thérapeutique revêt une forme très inhabituelle et assez bluffante.
Unis dans la prière.
Très amicalement.
Philippe de Vulpillières
2. LE BAISER DE JUDAS
Cher Monsieur,
Je vous remercie vivement pour votre mail. Pour être tout à fait honnête avec vous, je ne partage pas vos idées. Non seulement, il me semble que l'essentialisation (qui est toujours une réduction) que vous faites des femmes et des hommes est contestable (votre "clé" laisse songeur l'universitaire que je suis...) mais je crois, à l'inverse de vous, que les femmes sont maltraitées dans l'institution catholique (et pas seulement...), qu'il serait bon que cela cesse et que l'Eglise les reconnaisse davantage. Je ne discerne rien de la féminôlatrie que vous dénoncez, j'avoue même ne pas comprendre votre positionnement. Si les revendications des femmes sont telles aujourd'hui, dans l'Eglise (encore que...) et hors d'elle, ce n'est pas sans raison et les hommes feraient bien de se demander pourquoi.
Par ailleurs, il se trouve que je suis un passionné de cinéma - [énonciation d'une compétence et d'une prestigieuse fonction académique] - et très attaché au travail de Stanley Kubrick et de quelques autres réalisateurs. Je ne partage pas du tout votre lecture de son dernier et magnifique opus, Eyes wide shut, qui, selon moi, traite du rapport au désir dans le couple - tant masculin que féminin - de façon assez géniale. Il m'arrive même de le recommander à des couples un peu cultivés qui se préparent au mariage (la scène du film que visionne le personnage de Kidman dans sa cuisine est à mettre directement en rapport avec la fin du film qui s'achève, tel un conte de fée, dans un magasin de jouet autour d'un couple décidé à poursuivre son chemin et à faire un enfant).
[...] Docteur en [...] et bientôt aussi en [...], je suis très attentif aux courants idéologiques qui agitent l'Eglise et votre apport est pour moi très riche en informations sur le système de pensée d'un certain national-catholicisme.
Je vous souhaite le meilleur. Fraternellement.
3. LES PENDULES À L’HEURE
Mon père,
Quatre vidéos promotionnelles de quelques minutes chacune ne vous donnent pas accès à ma lecture d’Eyes Wide Shut. Vous appelez "lecture" une petite révélation qu’on ne peut répudier qu’avec une très vilaine mauvaise foi, à plus forte raison après avoir lu un passage – celui en gras – dont vous n’avez pas encore connaissance :
Une jeune femme meurt tragiquement à New York (Eyes Wide Shut) et un enfant naît à Venise (Blume in Love). Les deux films intervertissent donc les localisations de deux événements bien réels advenus le 26 juillet 1928 : une jeune femme, Lili Schnitzler, meurt tragiquement à Venise et un enfant, Stanley Kubrick, naît à New York.
Kubrick savait ce qu’il faisait et la farce morbide a échappé à son parachèvement : il était initialement prévu d’accompagner la scène où Bill contemple Mandy à la morgue du « Liebestod » (« love/death ») de Wagner (Tristan et Iseult) résonnant pendant la dernière séquence, celle du départ précipité vers un hôpital vénitien, de Blume in Love (Robert P. Kolker et Nathan Abrams, Eyes Wide Shut : Stanley Kubrick and the making of his final film, Oxford University Press, 2019, p. 99). »
Et quant à la “lecture” – pour le coup – que vous essayez d’opposer à ma divulgation, elle est à la fois alambiquée et risible : interpréter le « fuck » conclusif d’Alice Harford comme le souhait de « faire un enfant », et comparer la fin de ce film à un « conte de fées », est à la fois bêta et pervers.
Car de quoi parlons-nous ?
D’un long-métrage pour lequel a été composé « Masked Ball » (Jocelyn Pook), un titre que Ghost – le groupe de rock metal au satanisme le plus exacerbé au monde – a choisi pendant des années pour accompagner, en concert, l’entrée des musiciens sur scène.
Vous me répondrez sans doute qu’il y a souvent des sorcières dans les contes de fées mais elles y sont répugnantes et vaincues… alors que là, le Mal est une citadelle imprenable, somptuaire, sardanapalesque et, en guise de « passage de l’immaturité à la maturité » (Bruno Bettelheim, La psychanalyse des contes de fées), Bill et Alice n’accèdent qu’à la conscience mutique et pour le moins cauchemardesque d’une prétendue omnipotence de l’Ombre.
Venons-en maintenant à la clé qui vous « laisse songeur ».
C’est une formule bien commode pour manifester du dédain sans le moindre argument.
La justesse de la distinction corps-arme/corps-joyau est si évidente – parce qu’elle évoque des images (défilés militaires et défilés de mode, par exemple) – que je ne vais pas vous faire l’affront de sous-entendre que c’est cela qui vous chagrine.
Vous devriez d’ailleurs être frappé de voir s’imbriquer à la perfection dans les enseignements et la Tradition de l’Église l’hypothèse que j’avance.
Si la femme dispose d’un cerveau-arme – et c’est le seul point litigieux – tout s’explique : et en particulier qu’elle doive se soumettre à son mari et que le sacerdoce soit réservé aux hommes.
Il fallait bien 500 pages pour développer une approche aussi effrontément à contre-courant et je ne vous donne ici que quelques éléments épars.
La langue des femmes est leur épée et elles ne la laissent jamais rouiller ». dit un proverbe chinois.
Relevons qu’aux échecs, il n’y a, au 1er janvier 2024, qu’une seule femme parmi les 350 meilleurs joueurs mondiaux : n’est-il pas légitime d’en déduire qu’à l’instar de leurs corps respectifs, les cerveaux de l’homme et de la femme ne sont pas strictement identiques ?
Mais c’est l’étude de la parentalité qui fonde et couronne mon hypothèse : la femme est une avocate – dont l’amour inconditionnel forge l’estime de soi de sa progéniture – et l’homme est un juge qui forge – dans un deuxième temps – la droiture de sa progéniture.
Tendresse (paix, amour) et estime de soi (droits) : maternité.
Sagesse (justice, vérité) et droiture (devoirs) : paternité.
Deux pôles qui "se rencontrent", "s’embrassent" et s’irriguent mutuellement...
Toujours "songeur" ? Le dormeur doit se réveiller…
L’Esprit Saint nous donne parfois de lire entre les lignes : quand saint Paul parle de se glorifier de sa faiblesse, il ne veut pas, par humilité, prononcer le mot « courage » et quand saint François de Sales écrit que l’homme, sans la dévotion, est un être « brutal » et que la femme, sans la dévotion, est « faible en la vertu », il ne veut pas, par délicatesse, prononcer le mot « vicieuse ».
Vicieux : je serais tenté de dire que le mot est faible pour qualifier le discours que vous m’infligez.
Il se dégage en effet de vos propos deux messages assourdissants : 1. Je suis – moi – une sommité. 2. Vous avez – vous, Philippe de Vulpillières – tort sur tout.
La forme est amène et le fond… féroce : je ne m’étonne donc pas que vous sembliez avaler toutes les couleuvres de l’esprit du temps car vous êtes très manifestement féminisé, au pire sens du terme (malice/violence psychique), jusqu’au bout des neurones.
Mais revenons à nos moutons.
Vous me servez le désormais sempiternel refrain sur la « maltraitance » des femmes : on sombre dans les poncifs de la victimisation – phénomène que j’interprète comme un triomphe de la tendresse sur la sagesse et la volonté consécutive d’éveiller ladite tendresse en se posant en victime.
Je ne vous donne pas tort mais je vous fais remarquer que tout le monde maltraite tout le monde dans cette société et qu’il y a beaucoup à dire sur la maltraitance des hommes (80 % des suicides sont masculins) et SURTOUT sur celle des enfants.
Et s’il y a une souffrance féminine à pointer du doigt, c’est bien celle qu’engendre la liberté sexuelle… acquise de haute lutte par le féminisme.
La multiplication des partenaires sexuels à des effets dévastateurs, à moyen terme – et non pas, perceptiblement du moins, à court terme – sur la gent féminine.
À 40 ans, on a, de nos jours, à peine vécu la moitié de sa vie et c’est alors le naufrage : attaques de panique, dépressions, médocs et tout le tralala.
Comme je l’écris dans mon livre, un corps-joyau gagne à ne pas se prendre pour une breloque.
Et les seules femmes encore pétillantes, et éclatant de rire comme des enfants, à la quarantaine – et au-delà – sont significativement celles qui n’ont eu que très peu d’hommes dans leur vie – et souvent un seul.
Il me faut, à présent, m’arrêter sur votre "chef d’œuvre" : « Si les revendications des femmes sont telles aujourd’hui […] ce n’est pas sans raison et les hommes feraient bien de se demander pourquoi. »
La première chose qui me vient à l’esprit, c’est la fameuse réplique de Bernard Blier dans un film de Michel Audiard : « J’ai déjà vu des faux-culs… Mais vous êtes une synthèse. »
Jolie manière, en effet, de surfer sur la bonne vague (celle qui plaît à France Inter) sans se mouiller…
De quelles revendications parlons-nous? De l’avortement ? De la PMA sans père ? De la réhabilitation de la sorcellerie ?
Rien n’arrive bien évidemment « sans raison » : pas même les cris de la foule réclamant à Pilate la crucifixion du Seigneur Jésus. Et quand celui-ci nous dit avoir été « haï sans raison », il entend par là « injustement ». Nous savons bien en effet qu’il a été livré « par jalousie ».
La question est donc de savoir si lesdites revendications servent la justice ou nourrissent l’iniquité.
Et si vous étiez un peu perspicace, vous vous seriez rendu compte que la malice féminine n’a, de nos jours, aucune « revendication » à faire : si elle désire quelque chose, elle s’en empare.
Aucune résistance sérieuse ne lui fait face : c’est le propre de la société féminolâtre…
Les diablesses y font ce que bon leur semble.
Et la récente réhabilitation de la sorcellerie, très documentée dans mon livre, en est un symptôme criant – qui fait suite à l’engouement pour le sadomasochisme.
Tout cela nous précipite vers l’horreur.
Une dominatrice de Los Angeles interrogée par Mark Laita (Soft White Underbelly) sur ses pratiques extrêmes lui répond ainsi :
Cela dépend de ce qu’on entend par « extrême ». Certains trouvent qu’il est extrême de déféquer sur autrui mais moi, je fais ça tout le temps. »
Y voyez-vous, là encore, un « conte de fées » ?
Dans les deux cas, c’est une femme qui allume la mèche : Mona Chollet – chez nous – pour la sorcellerie et E. L. James pour les pratiques BDSM.
Et l’incendie emporte tout sur son passage, autrement dit les mœurs et la loi (républicaine).
Mais il est vrai que vous ne discernez rien de la féminolâtrie que je dénonce et que vous necomprenez pas mon « positionnement » ?
Laissez-moi rire...
Quand Laurent Tapie affirme qu’à en croire l’esprit du temps, « toutes les femmes sont formidables et tous les hommes sont des cons », énonce-t-il un scoop, une idée neuve, audacieuse, disruptive… ou enfonce-t-il une porte ouverte ?
Il enfonce bien évidemment une porte ouverte et je désigne, quant à moi, avec la plus grande clarté, et sans la moindre misogynie, ce que j’envisage comme le socle, comme le mensonge fondateur de la féminolâtrie, à savoir l’idée que les cerveaux masculin et féminin sont parfaitement identiques.
Vous terminez votre courriel en faisant de moi l’expression d’un « certain national-catholicisme », autrement dit en me traitant peu ou prou, avec l’une des trouvailles de faux-cul dont vous avez le secret, de facho.
Le terme que vous employez renvoie en effet au franquisme, vous le savez pertinemment.
Je pourrais étayer longuement ma « défense » mais je vais me borner à vous dire ceci : j’ai logé gratuitement – avec ma fiancée de l’époque – pendant plus d’un an – via la communauté Sant’Egidio – un étudiant congolais dont le père venait de mourir, et qui n’avait plus de quoi payer un loyer. Et j’ai derrière moi des années de bénévolat dans les dortoirs pour sans-abris et chez les Sœurs Missionnaires de la Charité de Mère Teresa.
En essayant de m’accoler cette étiquette diffamatoire, vous ne faites que manifester une nouvelle fois votre incapacité à sortir des ornières du Zeitgeist.
Et vous auriez d’ailleurs pu relever le cosmopolitisme – musical, en particulier – de mes « teasers ».
Mais vous ne relevez rien du tout : aveuglé et électrisé par vos ambitions narcissiques, assoiffé de conformisme, lâchement et cyniquement ancré dans une époque qui s’emploie ingénieusement à conduire ses infortunés convives de “la perte de l’estime du Moi” à “la perte du Moi” (Paul-Claude Racamier, Le génie des origines) et – comme en témoigne l’avalanche de troubles psychiques qui nous entoure – excelle à ce petit jeu, vous prenez la plume, bille en tête, en sicaire – arrogant et mielleux – à la solde de l’idiotie.
Pas une seule ligne, pas un seul mot, pour reconnaître à mon travail un quelconque intérêt ou une quelconque valeur : il y a chez vous comme une soif de sang.
Vous entreprenez de déchiqueter tout ce que j’affirme.
Je vous confesse que ça m’en touche une sans faire bouger l’autre…
Car vous ne pouvez rien contre la Vérité : « la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas saisie. »
Notre Seigneur m’ayant miséricordieusement pourvu, dans une certaine mesure, du charisme du discernement des esprits, votre cas m’intéresse néanmoins beaucoup.
Car non seulement essayez-vous, sans grand talent, et manifestement berné par vos propres diplômes, de brûler mes analyses au lance-flammes mais vous le faites avec une surenchère de rodomontades et, surtout, d’amabilités qui donnent, vu la substance assassine de votre propos, une teneur un tantinet diabolique à celui-ci.
Et c’est là que tombe la goutte qui fait déborder le vase : Eyes Wide Shut.
C’est en effet à mon tour d’être « laissé songeur » – sur votre état de santé spirituel – en apprenant que vous recommandez à des couples qui se préparent au mariage de visionner Eyes Wide Shut : au cas où cela vous aurait échappé, Bill et Alice sont, au début du film, ensemble parce qu’ils s’aiment. Et ils sont, à la fin du film, ensemble parce qu’ils ont peur.
Ce n’est pas un film sur le sexe : c’est un film sur la peur. » a d’ailleurs déclaré sans ambages Christiane Kubrick, l’épouse de Stanley.
Vous semblez parfaitement indifférent au fait que l’épicentre du long-métrage soit la savante magnification d’une orgie sataniste.
Personnellement, cela me retourne le cœur...
Et c’est farouchement déterminé à en casser l’hypnose tentaculaire que j’esquisse – vous l’avez vu – un parallèle on ne peut plus adéquat entre cette monstruosité et la scène finale d’Aguirre, la colère de Dieu.
Cet épisode [l’orgie/messe noire], en plus d’être ridicule de fausseté, ne devrait aiguiser chez un homme droit que la soif de mettre tous ces répugnants guignols maléfiques sous les verrous.
Mais des prélats de la trinité antihumaine1voulant nous dire – à l’instar de Jean-Paul Enthoven (Ce qui plaisait à Blanche, Grasset, 2020) – qu’ils partagent les ombres et les fréquentations de Victor Ziegler aux cinéastes de tout poil se piquant – jusque dans les faubourgs de Lagos (Shanty Town, Dimeji Ajibola, 2023) – de rendre hommage au roi des rois de la pellicule, les éclaboussures de Somerton se portent à ravir. » (Le gouffre de la féminolâtrie, page 350)
« Magnifique opus », dites-vous ? Le diable partage sans nul doute votre opinion.
Ce film est une horreur, sur de multiples plans : il inocule la peur et s’il a marqué les esprits, c’est en conférant un prestige sidérant au satanisme.
Je vous rappelle que Kubrick n’en est pas à son coup d’essai : il avait, dans Orange mécanique, mis en scène Alex DeLarge rêvant qu’il fouettait le Christ sur son chemin de croix.
Je ne saurais vous dire combien je suis catastrophé de voir l’Église catholique s’appuyer sur qui la frappe en s’extasiant devant des scorpions dans votre genre.
J’en recense d’ailleurs quelques-uns dans mon livre.
Si vous connaissez si bien Kubrick, vous vous souvenez sans doute de la place de choix qu’il accorde au mythe d’Icare dans le discours qu’il prononce, pendant le tournage d’Eyes Wide Shut, pour remercier la Directors Guild of America de lui avoir décerné le « D.W. Griffith Award ».
Nos éminents docteurs en psychiatrie ne font pas le lien – pourtant évident – entre l’effondrement de la santé mentale chez les jeunes et le fait qu’on leur inocule une psychose – susceptible de produire des métastases – en leur soutenant mordicus que le mot homme ne désigne pas le mâle de l’espèce humaine.
Les ouvrages de Jean-François Braunstein dépeignent l’Université comme un champ de ruines, dévoré par la fièvre psychopathique du wokisme.
Autant vous dire que vos fonctions et titres universitaires ne sont, à mes yeux, que de la cire et des plumes et que si vous vous hasardez à voler trop près du soleil – de l’Esprit Saint – en vous attaquant à un livre qu’il a grandement dicté, il est fatal que vous tombiez de haut.
Eyes Wide Shut vous a mystifié : non, l’Ombre n’est pas omnipotente et la foi de l’auteur du Gouffre de la féminolâtrie ne compte pas parmi les « vallées obscures » où vous pouvez espérer prospérer.
Philippe de Vulpillières
1 Le concept de “trinité antihumaine” – ou “antichristique” – compte parmi les découvertes les plus éclairantes – pour l’Église – qu’il m’ait été donné de faire, et il en est question dans l’un de mes quatre “teasers”, quoique je sois plus éloquent sur ce point dans une vidéo publiée il y a un an et demi et intitulée : « L’Occident : patriarcat ou matriarcat ? » - Voir ci-dessous. (chaîne YouTube Culture & Racines éditeur).
L'OCCIDENT : PATRIARCAT OU MATRIARCAT ? Par Philippe de Vulpillières