L’homme tue et la femme rend fou - Comprendre l’architecture de la Société du Suicide
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L’homme tue et la femme rend fou - Comprendre l’architecture de la Société du Suicide

L'HOMME TUE ET LA FEMME REND FOU se balade dans notre époque pour nous dévoiler enfin la construction, le mécanisme et le terminus de l'esprit (mauvais) auquel nous obéissons… en nous prenant pour des Lumières.

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Description

La foi et l'obéissance n'étant dissociables dans aucune religion, l'Occident est désormais, plus encore qu'il n'y paraît, un monde d'athées purs et durs. Mais se définir ainsi par la négative n'est pas très éclairant. Car à moins d'avoir perdu la raison, tout homme croit nécessairement en un esprit, c'est-à-dire en une certaine définition du vrai, du bien et du mal.

Articulant les fulgurances de René Girard (désir mimétique), de Philippe Muray (festivisme), du collectif Tiqqun (la Jeune-Fille) et de Michel Clouscard (société libérale-libertaire) avec quantité de références bibliques, cet essai iconoclaste révèle un féroce franc-tireur catholique et opère une mise à nu parfaitement sidérante de l'esprit qui gouverne ce qu'il convient d'appeler la Société du Suicide, à savoir le système inventé et promu par l'amour (cathodique) de l'argent en réaction à la défunte Société du Meurtre (nazisme).

Toujours clair, incisif et accrocheur, solidement documenté et d'une logique implacable, L'HOMME TUE ET LA FEMME REND FOU se balade dans notre époque (féminisme, art contemporain, vedettariat, sadomasochisme, séries télévisées, rock metal, psychiatrie, séduction, terrorisme, etc.) pour nous dévoiler enfin la construction, le mécanisme et le terminus de l'esprit (mauvais) auquel nous obéissons… en nous prenant pour des Lumières.


Philippe de Vulpillières habite Gênes depuis une dizaine d'années. Sa vie y est rythmée par la prière, le jeûne, le bénévolat et l'écriture. Il n'est présent sur aucun réseau social et ne donne aucune interview.

Fiche technique

978-2-491861-13-1
0.25 kg
Fiche technique
Nombre de pages :
196
Format :
13x20cm

Qu'est-ce que la Société du Suicide ?

Critiques

L’homme tue et la femme rend fou est […] un livre à la fois court et dense, foutraque et brillant, étonnant et détonnant, agaçant et stimulant mais toujours percutant. […] Une lecture vivifiante, à défaut d’être très joyeuse ou optimiste. À prendre comme un alcool fort, pour se fouetter le sang et l’âme. »
- Xavier Eman
Quotidien catholique Présent.


Pour inciter à la sainteté, quel meilleur outil que l'exposition du vice poussé jusqu'à ses dernières extrémités ? 
On sort de cet ouvrage abattu par sa cohérence, stupéfait par les échos de nos vies qui résonnent dans ses pages, et tenté par la foi de fin des temps de ce Tertullien du 21ème siècle : Je crois… parce que c'est horrible ! »
- Charles Vincent

Rébellion, revue de l’Organisation socialiste révolutionnaire européenne.


Le spectacle de ce sniper catholique hors norme prenant douze cibles (le livre comporte douze textes) dans la bien-pensance et les abattant froidement une à une est une expérience qui peut confiner au traumatisme chez les marionnettes du mal-nommé progressisme. Mais pour les esprits libres ayant compris depuis des lustres qu'il y a, en Occident, une couille dans le potage, l'expérience est édifiante et jubilatoire. Qu'on ne se méprenne pas… le diagnostic est glaçant. Mais on n'est pas fâché de savoir qu'il y a un plan B. »
- Commentaire sur le site Sens Critique (mai 2020)


Rafraichissant dans un monde occidental dominé par des faux-semblants comme la présupposée oppression masculine sur la gent féminine. Une plume acerbe évidemment maintenue dans l'ombre, à dessein… »
- Fabthefab 
Un lecteur via Amazon.


[…] Un monde dominé par trop de masculin devient physiquement violent (totalitarismes du XXème siècle), un monde dominé par les femmes et le féminin rend fou […] »
- Nawratil
Un lecteur via Amazon.


Concernant le symbole sur l'épaule de la femme en première de couverture (et à droite sur le bandeau ci-dessous), il s'agit d'un détournement du symbole du féminin suggérant - dans l'esprit du titre du livre - que la féminité puisse - tout autant que la masculinité - prendre une tournure maléfique (dragon). La thèse de cet ouvrage catholique est, en effet, que si la masculinité maléfique est, on le sait, sanguinaire, la féminité maléfique est, en ce qui la concerne, psychopathogène.


Ero Makia

Les statistiques nous apprennent en effet que les femmes commettent davantage d’agressions conjugales que les hommes. Bien entendu, il s’agit essentiellement de violences psychologiques, verbales ou physiques, mais non létales – donc moins graves. Ceci ne doit pas faire oublier cependant que si les femmes ne tuent pas directement (ou rarement), elles peuvent tuer indirectement. Les taux de suicides masculins suite à des violences conjugales (VC) sont significatifs (Davis, 2010)
[…] La violence féminine, une réalité anthropologique trop souvent mise sous le boisseau par les féministes, s’exercerait notamment lorsque les femmes sont en position de domination, physique ou psychique, à l’égard des enfants, des personnages âgées, de leurs conjoints… ».
[…] Et comme l’écrit la romancière américaine Nancy Crampton Brophy, auteure d’un essai intitulé Comment tuer son mari – et qui vient d’être reconnue coupable du meurtre de son conjoint –, « la chose à savoir avec le meurtre, c’est que chacun en est capable si on le pousse suffisamment. » Sans en arriver à ces extrémités « l’effort pour rendre l’autre fou », à coup d’injonctions contradictoires et autres comportements persécuteurs, est une tentation dont nul, homme ou femme, ne peut se croire à l’abri ».
- Ero Makia
[Agressions au sein du couple] – Les violences conjugales, produit du patriarcat ? Les statistiques établissent largement que non…

Le mot d'Electre©

Articulant les thèses ou intuitions de René Girard, de Philippe Muray ou du collectif Tiqqun, sans oublier les références bibliques, l'auteur opère une mise à nu de l'esprit qui gouverne l'Occident contemporain, qu'il nomme la société du suicide, à savoir le système inventé et promu par l'amour cathodique de l'argent en réaction à la défunte société du meurtre, incarnée par le nazisme ».
- Electre

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