L’homme tue et la femme rend fou - Comprendre l’architecture de la Société du Suicide (prévente)
L'HOMME TUE ET LA FEMME REND FOU se balade dans notre époque pour nous dévoiler enfin la construction, le mécanisme et le terminus de l'esprit (mauvais) auquel nous obéissons… en nous prenant pour des Lumières.
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Description
La foi et l'obéissance n'étant dissociables dans aucune religion, l'Occident est désormais, plus encore qu'il n'y paraît, un monde d'athées purs et durs. Mais se définir ainsi par la négative n'est pas très éclairant. Car à moins d'avoir perdu la raison, tout homme croit nécessairement en un esprit, c'est-à-dire en une certaine définition du vrai, du bien et du mal.
Fiche technique
Fiche technique
- Nombre de pages :
- 196
- Format :
- 13x20cm
Les vidéos de Philippe de Vulpillières
Critiques
L’homme tue et la femme rend fou est […] un livre à la fois court et dense, foutraque et brillant, étonnant et détonnant, agaçant et stimulant mais toujours percutant. […] Une lecture vivifiante, à défaut d’être très joyeuse ou optimiste. À prendre comme un alcool fort, pour se fouetter le sang et l’âme. »
- Xavier Eman
Quotidien catholique Présent.
Pour inciter à la sainteté, quel meilleur outil que l'exposition du vice poussé jusqu'à ses dernières extrémités ?
On sort de cet ouvrage abattu par sa cohérence, stupéfait par les échos de nos vies qui résonnent dans ses pages, et tenté par la foi de fin des temps de ce Tertullien du 21ème siècle : Je crois… parce que c'est horrible ! »
- Charles Vincent
Rébellion, revue de l’Organisation socialiste révolutionnaire européenne.
Le spectacle de ce sniper catholique hors norme prenant douze cibles (le livre comporte douze textes) dans la bien-pensance et les abattant froidement une à une est une expérience qui peut confiner au traumatisme chez les marionnettes du mal-nommé progressisme. Mais pour les esprits libres ayant compris depuis des lustres qu'il y a, en Occident, une couille dans le potage, l'expérience est édifiante et jubilatoire. Qu'on ne se méprenne pas… le diagnostic est glaçant. Mais on n'est pas fâché de savoir qu'il y a un plan B. »
- Commentaire sur le site Sens Critique (mai 2020)