Dans son exposé, le fondateur de Strategika revient sur la manière dont le projet ou complot de la minorité au pouvoir est devenu perceptible et visible pour une grande partie de la population au moment de la crise sanitaire :
Le Covid nous l’a montré, c’est d’abord par l’information que cela se passe. Si on a accès à une bonne information, ou en tout cas à une information différente, on peut résister au rouleau compresseur. Au niveau du Covid, cela nous a même sauvé la vie ou sauvé la vie de proches. Quand on a vu arriver le Covid, le fait d’avoir déjà des connaissances sur ce qu’est le mondialisme et sur ce que sont capables de faire ces gens-là, nous a permis d’anticiper et de comprendre très vite ce qu’ils étaient en train de faire. La première étape est de comprendre leur projet, d’où l’importance fondamentale des sites de réinformation ».
Pierre-Antoine Plaquevent met en exergue la tendance chez les gens intelligents qui ont du pouvoir à vouloir créer un système parfait et l’imposer :
Le fait de savoir qu’il existe un projet, cela nous aide à nous défendre et à savoir qu’en face nous avons des gens qui ont réellement une idée en tête, qui veulent gouverner, et qui ont mis en place tous les instruments pour cela. Dès les années 1920, Aldous Huxley montre ce que serait ce projet s’il était réalisé, c’est à dire une forme de fédération mondiale du genre humain, organisée par caste génétique. Huxley faisait partie de ces familles qui se transmettent, en plus d’un héritage, un projet de société mondialiste. Le cas de Soros est emblématique car il s’agit d’un financier multimilliardaire.
Il nous montre que leur but n’est pas uniquement l’argent. Une fois qu’ils ont atteint un certain niveau de richesse, leur but est le contrôle et le pouvoir. Et au-delà du pouvoir, il existe une question spirituelle. Ayant bouché tous les horizons d’attentes spirituelles, ils travaillent à la restauration d’un paradis terrestre sans Dieu et l’accomplissement d’une immortalité matérielle. C’est le sens du transhumanisme dans lequel il existe une forme de révolte fondamentale contre la Création et le Créateur ».
Selon l’écrivain, la question de la spiritualité est une clé essentielle pour comprendre le projet de l’élite mondialiste auquel nous faisons face, et surtout pour être en mesure de lui résister.
L’intelligence est une faculté spirituelle qui nous permet de connecter les éléments entre eux. Souvent nous nous étonnons de voir des gens qui nous paraissent très intelligents mais n’ont pas compris des choses essentielles. Et bien, c’est parce qu’ils ne sont pas sages. Ils n’ont pas eu cette sagesse d’utiliser cette faculté présente en l’homme et qui a autant à voir avec l’esprit qu’avec le cœur. Il faut faire descendre l’intelligence dans le cœur. Ces gens-là ont fermé leur cœur, ils sont dans le rationalisme pur et veulent combler ce vide intérieur par le contrôle extérieur du monde.
L’orgueil humain fait qu’ils ne peuvent pas s’empêcher de nous exposer leurs croyances, leur “religion”. Cela rejoint la question spirituelle car à un moment il faudra choisir. Cela n’est plus une question d’intelligence, c’est un choix spirituel. À un certain niveau, être bête cela devient un péché. On n’a plus le droit d’être bête face à ce qui arrive, et il faudra choisir, soit le camp de la Bête comme le nommait les premiers chrétiens, soit le camp de la Liberté, de l’Esprit ».